Conduire en circulation dense et dans une file de véhicules

Conduire en circulation dense

Conduire en circulation dense peut s’avérer frustrant dans un monde où tout va toujours plus vite. Chacun a tendance à adopter un comportement individualiste et cela créé des tensions et des risques élevés en cas de circulation dense. Voici quelques conseils à suivre, qui vous aideront également dans votre préparation au permis de conduire.

Qu’est-ce que la circulation dense ?

La circulation dense : définition

La circulation dense est ce qu’on appelle plus communément “bouchons” ou ralentissements. On parle aussi de circulation en file dès lors que plusieurs véhicules se suivent et que l‘on se trouve sur une chaussée comportant plusieurs voies de circulation.

Conduire dans une file de véhicules nécessite une concentration importante car outre les véhicules circulant devant et derrière, on a aussi des véhicules côte à côte avec nous.

Conduire en circulation dense et en file n’est en général pas le moment le plus plaisant au volant, mais il suffit de rester calme et tout se passera bien !  

La circulation en interfile : un danger lié à la circulation dense

Souvent, lorsque la circulation se fait à allure faible, ou de façon saccadée, il arrive que les 2 roues créent une interfile, c’est-à-dire qu’ils circulent entre les voies de circulation pour se déplacer plus rapidement. Ce phénomène se produit davantage en circulation dense. Lorsque cela arrive, les 2 roues ont une plus forte tendance à créer une interfile.

Conduire en circulation dense : quelles précautions ?

Conduire en circulation dense peut paraître facile car on roule moins vite, mais en réalité une plus grande concentration est requise.

Vérifier les rétroviseurs en cas circulation dense

Pensez à contrôler régulièrement vos rétroviseurs en cas de circulation dense. Si la situation l’exige, vous pouvez aussi vous écarter légèrement d’un véhicule circulant en interfile pour être plus en sécurité.

Conduire en circulation dense
Conduire en circulation dense, une situation stressante et source de risques

Rester vigilant quand on conduit en circulation dense

Une chute de l’attention est assez fréquente lorsque la circulation se fait à faible allure. Pour bien conduire en circulation dense, il est primordial de rester attentif. En cas de bouchons par exemple, on a l’impression que rien ne peut arriver. C’est bien évidemment faux car le trafic est dense et les actions ou réactions des autres sont parfois imprévisibles.

Un trafic en circulation dense implique un plus fort risque de collision. L’utilisation des rétroviseurs sera donc répétée très régulièrement.

Il faudra donc prendre de grandes précautions tout au long de votre trajet et notamment au moment de changer de voie pour un dépassement ou autre.

Changer de voie en circulation dense

On ne traverse jamais plusieurs voies en une seule fois, mais voie après voie, en vérifiant à chaque fois si elle est libre. Cela vaut pour la circulation dense mais aussi lorsque le trafic est fluide.

Anticiper la conduite des autres conducteurs

Il est fréquent pour changer de direction qu’on soit obligé de changer une ou plusieurs fois de voie au préalable. Il est impératif d’anticiper les changements de voie, surtout en cas de circulation dense. Il convient d’évaluer la distance et la vitesse des autres usagers pour réaliser des changements de voie en toute sécurité et bien avant le moment de changer de direction.

Cas particulier en circulation dense

Il est à noter que si l’on circule dans la voie de droite et que celle-ci est plus rapide que celle de gauche, cela n’est pas considéré comme un dépassement par la droite. Toutefois, méfiance dans ce genre de situation : un usager peut brutalement et sans prévenir changer de voie.

En conclusion, même à faible vitesse, voire à l’arrêt, n’oubliez pas que vous êtes au volant d’une voiture et que vous devez rester sur vos gardes. Si vous suivez ces conseils, conduire en circulation dense ne vous posera aucun problème !

Découvrez aussi les règles du code de la route pour croiser et dépasser les autres usagers en toute sécurité.

Conduire la nuit : conseils en cas de visibilité réduite

conduire la nuit et bien utiliser les feux

Conduire la nuit peut sembler plus sûr en raison du trafic peu dense mais la moitié des accidents mortels surviennent de nuit ! La visibilité réduite additionnée à la fatigue peut causer de graves accidents. Mais alors, comment conduire la nuit ? Certaines notions sont utiles à savoir pour conduire de nuit : conseils, astuces et solutions existent pour vous faciliter la vie ! En voici quelques-uns, fournis par nos soins.  

Conduire la nuit : quels dangers ?

De nuit, les zones larges de notre champ visuel sont beaucoup moins visibles. Dans les courbes, les feux éclairent surtout vers l’extérieur du virage (on peut retrouver ce phénomène dans les tunnels également).

conduire la nuit et bien utiliser les feux
Conduire de nuit : bien utiliser les feux pour rouler en toute sécurité.

Conduire la nuit : une visibilité diminuée

Conduire la nuit comporte de nombreux risques. Il est important d’en être bien informé pour bien réagir à la tombée du soleil. L’un des premiers facteurs de risque la nuit est le manque de visibilité. En effet, le champ visuel est diminué et le sens du relief est perturbé. Conduire dans ces conditions demande une concentration accrue. Les yeux sont mal adaptés et on a tendance à moins repérer les obstacles. De plus, les routes mal éclairées (surtout hors-agglomération), rendent la conduite de nuit plus complexe.

Conduire de nuit, dangers extérieurs

Le danger peut aussi provenir d’éléments extérieurs. Certes on trouve moins de véhicules la nuit, mais le risque d’accident est tout de même plus élevé. Il faut être particulièrement attentif aux comportement des autres conducteurs. On n’est jamais à l’abri de croiser un conducteur peu alerte, ou en état d’ébriété par exemple. Conduire la nuit nécessite donc de rester prévoyant, pour pouvoir réagir rapidement en cas d’imprévu.

Les animaux constituent aussi une source de danger sérieuse sachant qu’ils se déplacent davantage la nuit. Conduire la nuit demande donc d’avoir de bon réflexes !

En cas de fortes pluies ou d’averses de nuit, il est important de faire attention à l’aquaplaning. La vision limitée ajoutée à la perte d’adhérence multiplie le risque d’accident.

Mais alors, comment conduire la nuit lorsque les phénomènes gênants s’accumulent ? Voici quelques conseils.

Conduire de nuit : conseils pour rouler en toute sécurité

Comment conduire la nuit pour rester en sécurité ? Quelques techniques simples vous permettront de toujours rester attentif et alerte. Pour conduire de nuit, les conseils et astuces Lepermislibre sont les suivants.

Conduire de nuit, conseil n°1 : rester éveillé

Quelle attitude adopter pour bien conduire la nuit ? Plusieurs solutions existent afin de mieux supporter un trajet nocturne. Aux premiers signes de fatigue (paupières lourdes, raidissement), n’hésitez surtout pas à faire une pause, voire une sieste. Même une sieste de 20 minutes peut vous remettre en forme !

Conduire la nuit nécessite de rester le plus éveillé possible. Pour cela, gardez un regard mobile et actif, allumez la radio ou parlez avec vos passagers !

Conduire de nuit, conseil n°2 : croisement avec d’autres usagers

Si vous croisez d’autres automobilistes et que vous êtes éblouis, ne regardez surtout pas les phares. Orientez plutôt votre regard vers le bas-côté droit de la chaussée.

Comment conduire la nuit : utiliser les bons feux

Le code de la route contient des règles qui indiquent comment conduire la nuit, en particulier quels feux utiliser selon la situation. L’utilisation des feux la nuit dépend avant tout de la route empruntée et si elle est éclairée ou non.

Comment conduire la nuit sur une route éclairée

Même si la route est éclairée, il est interdit de conduire la nuit sans feux. En agglomération ou hors-agglomération, il est préférable d’activer les feux de croisement. Cependant il est possible de rouler avec uniquement les feux de position dans une agglomération bien éclairée (tunnel compris). Si l’éclairage n’est pas suffisant, les feux de croisement sont obligatoires.

Comment conduire la nuit sur une route non éclairée

En l’absence d’éclairage sur une route de nuit et si vous êtes seul, allumez vos feux de routes pour mieux voir, mais aussi pour être mieux vu. Pensez cependant à repasser en feux de croisement pour ne pas éblouir les autres usagers.

Voilà donc comment bien gérez vos feux et comment conduire de nuit, ces conseils permettront de rendre votre conduite plus aisée. Vous pouvez également consulter notre article pour savoir comment utiliser vos feux en cas de brouillard.

Vous savez donc maintenant comment conduire la nuit ! Il existe d’autres conditions rendant la conduite moins sûre et plus complexe, comme le manque d’adhérence, un paramètre important à aborder dans votre formation au permis de conduire.

Aquaplaning ou aquaplanage : les risques et comment les éviter

Par temps de pluie, l’aquaplaning, aussi appelé aquaplanage, constitue l’un des dangers principaux en voiture. Mais qu’est-ce que l’aquaplanage et comment éviter les risques de l’aquaplanage ? Une notion cruciale pour le permis de conduire et la sécurité routière !

Qu’est-ce que l’aquaplanage, ou l’aquaplaning en voiture ?

Les termes “aquaplanage” ou “aquaplaning” paraissent sortis d’un parc d’attraction aquatique. Mais ne vous y laissez pas prendre, l’aquaplanage est un phénomène très dangereux pouvant survenir en cas de pluie.

Mais qu’est-ce que l’aquaplanage ?

Lorsque la route est mouillée, il se crée une pellicule d’eau entre le pneu et la chaussée. Cette pellicule d’eau peut empêcher totalement l’adhérence au sol du pneu. Si celui-ci ne peut évacuer suffisamment et rapidement l’eau, le véhicule devient alors incontrôlable et glisse sur la chaussée. C’est ce phénomène qu’on appelle l’aquaplaning.

Aquaplaning ou aquaplanage en voiture : les risques
L’aquaplaning ou aquaplanage, un phénomène dangereux en cas d’intempérie, qui entraîne la perte de contrôle du véhicule.

Quels sont les risques de l’aquaplanage, ou aquaplaning ?

Ce n’est pas le danger le plus présent à l’esprit des conducteurs, mais les risques de l’aquaplanage sont bien réels  : dérapage, perte de contrôle, glissement de la voiture sur la chaussée.

Si l’aquaplaning se produit sur une voie vide, le véhicule peut tourner sur lui-même sans rien heurter. Cependant sur une route fréquentée ou en cas de circulation dense, les conséquences peuvent être bien plus dramatiques !

En cas de fortes pluies ou d’averses, il est donc important de faire attention à l’aquaplaning.

Le risque d’aquaplanage est encore plus important lorsque la visibilité est limitée, notamment de nuit. La vision réduite ajoutée à la perte d’adhérence multiplie le risque d’aquaplanage.

Comment éviter l’aquaplaning?

Afin de limiter le plus possible les risques d’aquaplanage, plusieurs solutions existent.

Contrôler l’état des pneus pour prévenir l’aquaplaning

Tout d’abord il est important de bien contrôler la pression et l’état des pneus. Si vos pneumatiques sont sous gonflés, le risque d’aquaplanage est multiplié ! N’oubliez pas de surveiller les sculptures des pneus, moins elles sont profondes, moins l’eau est évacuée. C’est pourquoi insistons sur l’importance de vérifier régulièrement l’état des pneus afin de garantir une bonne adhérence à la route et de prévenir le phénomène d’aquaplaning.

Ne pas freiner brusquement pour éviter les risques d’aquaplanage

Un bon freinage peut également vous sauver de l’aquaplaning. Privilégiez toujours le frein moteur et ne soyez jamais brutal avec la pédale de frein. En effet, les gestes brusques augmentent les chances de déraper. Enfin, ne roulez pas sur les flaques d’eau, surtout si elles sont profondes.

Pensez à consulter nos autres conseils pour la conduite en cas d’adhérence et de visibilité réduites.

Différence entre la conduite accompagnée et supervisée

La conduite accompagnée et la conduite supervisée permettent de conduire avec un proche accompagnateur avant l’obtention du permis de conduire. Ces formules présentent des avantages pédagogiques et économiques. Découvrez ici la différence entre la conduite accompagnée et supervisée, à qui s’adressent ces formules de conduite anticipée et comment elles se déroulent.

SOMMAIRE

Conduite accompagnée ou supervisée : pour qui ?

Une des différences entre conduite accompagnée et supervisée est l’âge du candidat en formation.

La conduite accompagnée à partir de 15 ans

La conduite accompagnée est aussi appelée Apprentissage Anticipé de la Conduite (AAC), car elle est accessible à partir de 15 ans. C’est en effet l’âge minimum pour passer le code de la route pour un candidat inscrit en conduite accompagnée, contre 16 ans en formation classique.

Suite à l’obtention du code de la route, le candidat peut débuter l’apprentissage anticipé de la conduite avec un enseignant. Lorsqu’il est jugé prêt, il peut poursuivre en conduite accompagnée avec un proche, en attendant de passer l’examen final du permis de conduire.

L’âge minimum pour passer l’examen pratique du permis de conduire suite à une formation de conduite anticipée est de 17 ans. Cet âge minimal a été modifié par un Arrêté le 16 juillet 2019 (il était auparavant de 17 ans et demi). 

Néanmoins, en cas d’obtention du permis, le candidat ne pourra pas conduire seul avant sa majorité, à 17 ans.

La conduite supervisée

Un candidat souhaitant conduire avec un proche sans suivre un apprentissage anticipé de la conduite peut solliciter une inscription en conduite supervisée. Dans ce cas, l’âge minimum pour passer le code de la route est de 16 ans, comme pour tout candidat classique. Le candidat doit également suivre une formation en conduite avec un enseignant avant d’obtenir l’autorisation de conduire avec son accompagnateur.

Conduite accompagnée et conduite supervisée : des méthodes de conduite anticipée
La différence entre conduite accompagnée et supervisée permet un apprentissage anticipé de la conduite ou non. Dans les deux cas, ces formules présentent des avantages multiples.

Le candidat peut également demander à basculer en conduite supervisée en cours de formation, suite à un échec à l’examen du permis de conduire par exemple. Cela lui permet de continuer à conduire à moindre frais en attendant de repasser l’examen.

La formation : différence entre conduite accompagnée et supervisée

La formation au permis de conduire repose sur un socle commun, mais il existe quelques différences entre conduite accompagnée et supervisée.

Les bases communes à la conduite accompagnée et supervisée

En conduite accompagnée comme en conduite supervisée, une formation initiale est obligatoire avant de commencer à conduire avec son accompagnateur. Le candidat doit passer le code de la route et réaliser au moins 20 heures de conduite en boîte manuelle avec un enseignant diplômé. La différence entre conduite accompagnée et supervisée se portera sur l’âge auquel le candidat peut réaliser cette formation initiale, comme expliqué plus haut.

Le candidat doit également avoir l’autorisation de son auto-école et une évaluation positive de son enseignant, qui confirme qu’il est prêt à débuter la conduite accompagnée ou la conduite supervisée avec son accompagnateur. Cela sera alors mentionné sur son attestation d’inscription au permis de conduire, qu’il doit obligatoirement avoir sur lui lorsqu’il conduit, ainsi que sa pièce d’identité.

N’oublions pas de mentionner qu’avant de s’inscrire en conduite accompagnée ou en conduite supervisée, le candidat doit obtenir l’autorisation de l’assureur du véhicule qu’il conduira. Un candidat qui souhaite s’inscrire en conduite accompagnée devra également avoir l’autorisation de son représentant légal.

Les conditions particulières de la conduite accompagnée

La conduite accompagnée est soumise à une durée et une distance minimum obligatoires. Après sa formation en conduite anticipée, le candidat doit conduire avec son accompagnateur pendant au moins un an et parcourir au moins 3000 km au total.

Avant de débuter la conduite accompagnée, un rendez-vous préalable est organisé avec le candidat, l’accompagnateur et l’enseignant pour faire le point sur les compétences à travailler. Pendant la conduite accompagnée, deux rendez-vous pédagogiques sont prévus pour suivre sa progression et préparer sa présentation à l’examen du permis de conduire.

Conduite accompagnée, ou apprentissage anticipé de la conduite.
La conduite accompagnée est destinée à ceux qui souhaitent bénéficier d’un apprentissage anticipé de la conduite. Elle est soumise à certaines conditions mais offre de nombreux avantages pour l’apprenti conducteur !

Les avantages de la conduite accompagnée et supervisée

La conduite accompagnée et la conduite supervisée présentent des avantages non négligeables pour un candidat au permis de conduire.

Une formation plus efficace et économique

La conduite accompagnée et la conduite supervisée permettent à l’apprenti conducteur d’acquérir plus d’expérience et de confiance en soi en dehors des leçons en auto-école, donc de manière plus économique. La réussite à l’examen du permis de conduire est en effet plus élevée chez les jeunes ayant suivi un apprentissage anticipé de la conduite ou de la conduite supervisée.

Période probatoire et assurance auto réduites en conduite accompagnée

La conduite accompagnée permet de réduire la période probatoire suite à l’obtention du permis à 2 ans. En revanche, ce n’est pas le cas de la conduite supervisée, où la période probatoire est maintenue à 3 ans, tout comme en formation classique.

Bon à savoir également, la conduite accompagnée peut donner droit à des tarifs avantageux auprès des assurances voiture pour les jeunes conducteurs !

L’accompagnateur en conduite accompagnée ou supervisée

Il n’y a pas de différence entre conduite accompagnée et supervisée pour l’accompagnateur, les critères sont les mêmes.

L’accompagnateur doit être titulaire du permis B depuis au moins 5 ans sans interruption (ni annulation, ni suspension de permis). Il doit avoir l’autorisation de l’assureur du véhicule pour accompagner le candidat en conduite accompagnée ou conduite supervisée. Enfin, il doit avoir signé un contrat avec l’auto-école.

Un candidat en conduite accompagnée ou conduite supervisée peut avoir plusieurs accompagnateurs, qui peuvent faire partie de son entourage familial ou non.

La conduite accompagnée et supervisée sont donc des formules qui nécessitent une inscription spécifique auprès d’une auto-école classique. Ces formules ne sont pas compatibles avec les auto-école en ligne. En revanche, vous pouvez passer votre permis en candidat libre avec Lepermislibre. Commencez à réviser le code de la route dès votre inscription à l’auto-école en ligne !

Choisir la bonne auto-école pour son enfant

Lorsqu’il s’agit de choisir une auto-école, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver parmi la multitude des offres et des prix proposés !

Etant donné que la majorité des candidats au permis de conduire sont âgés de 17 à 25 ans, donc pour la plupart étudiants, nous savons bien que les parents donnent généralement un (gros) coup de pouce pour l’accompagnement et le financement de leur formation.

Cet article s’adresse justement à vous parents, soucieux d’inscrire votre enfant dans une auto-école efficace, sans vous ruiner !

Et si Lepermislibre était LA solution que vous cherchiez ?

Lepermislibre a choisi de se détacher du modèle des auto-écoles traditionnelles pour proposer une méthode de formation plus attractive et plus adaptée à l’emploi du temps des candidats.

Le résultat : une formation simple, ultra efficace et plus économique. Avec Lepermislibre, obtenez le permis de conduire moins cher.

Parents et enfants, tout le monde y trouve son compte !

Lepermislibre est une auto-école 100% en ligne

C’est sur Lepermislibre.fr que le candidat s’inscrit et gère sa formation.

Depuis un smartphone, un ordinateur ou une tablette, il suit les cours et les entraînements pour le code de la route en illimité, puis il réserve sa place d’examen avec La Poste.

Il a également accès au planning des moniteurs auto-école partenaires Lepermislibre pour réserver des leçons de conduite, puis passer son permis.

Et le contact humain dans tout ça ? Justement ! Une équipe dédiée au suivi candidat se charge d’accompagner votre enfant dans l’ensemble de sa formation. Accompagnement dans ses démarches, conseils de progression, réponse à ses questions, nous sommes là pour lui/vous ! L’équipe est joignable par Chat en ligne, par mail et par téléphone.

Commencez par le code de la route

L’entraînement au code en ligne Lepermislibre est attesté conforme à l’examen officiel du Code de la route.

Dès son inscription sur lepermislibre.fr, votre enfant aura accès aux cours illustrés sur les différentes thématiques de la sécurité routière. Il pourra s’entraîner à l’examen grâce aux tests et examens blancs en illimité. Sa courbe de progression lui permettra de suivre ses résultats après chaque entraînement.

En parallèle, il sera guidé pour compléter son inscription via l’ANTS, nécessaire pour pouvoir passer les examens du code et du permis de conduire.

Comment savoir quand votre enfant est prêt ?

Grâce à sa courbe de progression en ligne, votre enfant pourra voir lui-même lorsque ses résultats seront consistants et qu’il aura passé la barre des 5 fautes sur 40, signe qu’il est prêt pour l’examen du code de la route. Il peut aussi demander conseil auprès de l’équipe Lepermislibre, qui est là pour le rassurer et le guider.

Comment se passe l’examen du code ?

L’examen du code de la route se passe dans des centres privés comme La Poste, donc tout prêt de chez vous !

Depuis son compte en ligne Lepermislibre, votre enfant pourra sélectionner le centre d’examen La Poste et la session de son choix. Grâce à ce système, il pourra passer le code en candidat libre, sans délai d’attente. Il n’aura plus qu’à se rendre sur place le jour de l’examen.

A prévoir : la présentation à l’examen du code de la route coûte 30€, à régler par carte au moment de la réservation en ligne.

Comment faire s’il rate le code ?

Le stress de l’examen peut perturber n’importe qui, rien de grave ! Il suffira de choisir une nouvelle date d’examen, comme expliqué précédemment. Il n’y aura qu’à repayer que les 30€ de présentation. Votre enfant aura toujours accès à son compte Lepermislibre pour reprendre l’entrainement si besoin.

Comment se passe l’apprentissage de la conduite ?

Si un moniteur indépendant partenaire Lepermislibre est disponible près de chez vous, votre enfant peut passer son permis de conduire avec Lepermislibre !

Pour cela, il peut réserver des leçons avec l’enseignant de son choix, qui l’accompagnera à l’examen du permis de conduire en fin de parcours.

Nous n’avons pas encore d’enseignant partenaire dans votre région ? Cela viendra ? Créez gratuitement un compte pour en être averti ! En attendant, votre enfant peut profiter de la formule en ligne Lepermislibre pour passer le code de la route. Vous pourrez ensuite l’inscrire dans une auto-école près de chez vous pour la conduite.
Plus d’informations ici sur le choix d’une auto-école.

Distance de sécurité : calcul et évaluation

La distance de sécurité est l’écart entre deux véhicules qui permet de conserver une marge de manœuvre et de prévenir les accidents. Voici comment se calcule la distance de sécurité et surtout comment évaluer la bonne distance de sécurité sur autoroute et sur route, une notion très importante pour le code de la route.

SOMMAIRE

Le calcul de la distance de sécurité

Maintenir une distance de sécurité suffisante avec les véhicules alentours assure la possibilité d’agir et de réagir, quelle que soit la situation, sans forcément s’arrêter.

Calcul de la distance de sécurité en conditions optimales

Le calcul de la distance de sécurité est le suivant : il suffit de multiplier le chiffre des dizaines de votre vitesse par 6. On obtient alors la distance de sécurité minimale avec le véhicule de devant.

Par exemple :

  • à 50 km/h= 6×5 soit 30 mètres de distance de sécurié
  • à 90 km/h=6×9 soit 54 mètres de distance de sécurité

Le calcul de la distance de sécurité sur autoroute et sur toutes les routes est le même. Cependant, ce calcul ne vaut que dans des conditions normales d’adhérence au sol, c’est-à-dire avec des pneus en bon état et sur chaussée propre.

Adapter la distance de sécurité en fonction de la situation

Le calcul de la distance de sécurité présenté ci-dessus n’est pas fixe. Certains éléments sont à prendre en compte également.

Faîtes attention notamment à la distance de sécurité du véhicule à l’arrière. Si celui-ci ne se trouve trop proche de vous, vous devez augmenter votre distance de sécurité avec le véhicule de devant pour compenser.

Il est aussi très important d’augmenter la distance de sécurité en cas d’intempérie. Sur chaussée mouillée par exemple, on doit multiplier sa distance de sécurité par 1,5.

Distance de sécurité latérale

Vous devez également laisser une distance suffisante avec les véhicules sur le côté : c’est ce qu’on appelle la distance de sécurité latérale.

En agglomération à moins de 50 km/h, la distance minimale à respecter est 1 mètre, ce qui représente à peu près une portière ouverte. Hors agglomération, la distance de sécurité latérale minimale est 1,50 mètres.

Cette distance permet notamment de préserver les usagers les plus vulnérables, comme les 2 roues et les piétons. En effet, le véhicule provoque un souffle en roulant et ces usagers pourraient être déstabilisés par ce souffle et chuter en cas de croisement ou de dépassement. De plus, si un usager vient à faire un écart brutal, un manque de distance de sécurité latérale peut entraîner un choc.

Comment évaluer la distance de sécurité en conduite ?

Il n’est pas facile d’apprécier une distance visuellement. Voici donc quelques repères pratiques pour évaluer la distance de sécurité sur autoroute et sur route.

Evaluer la distance de sécurité sur autoroute

Pour conserver une bonne distance de sécurité sur autoroute, veillez à laisser au moins deux lignes blanches d’intervalle avec le véhicule de devant (il s’agit des lignes en bordure de la chaussée).

Distance de sécurité sur autoroute
La distance de sécurité sur autoroute peut être évaluée grâce aux lignes blanches en bordure de la chaussée : laissez au minimum deux lignes entre vous et le véhicule devant.

Evaluer la distance de sécurité sur route

Voici une technique simple pour le calcul de la distance de sécurité sur n’importe quelle route.

Vous devez laisser deux secondes de marge avec le véhicule vous précédant. Prenez un point de repère au loin et commencez à compter quand l’arrière du véhicule devant vous passe ce point, en énumérant à vitesse normale “une seconde, deux secondes”. L’avant de votre véhicule ne devra pas atteindre le point de repère avant d’avoir fini de compter.

Si le véhicule de derrière n’est qu’à une seconde de vous, vous devez augmenter votre distance de sécurité d’une seconde avec le véhicule de devant.

Calcul de la distance de sécurité
Le calcul de la distance de sécurité peut se faire en secondes : le véhicule de devant doit être situé à deux secondes de vous minimum. N’oubliez pas d’augmenter cette distance si le véhicule de derrière est trop près.

Distance de sécurité non respectée : les risques

Distance de sécurité et accidents

Le nombre d’accidents liés à un manque de distance de sécurité est conséquent et ses répercussions peuvent être tragiques. Plus la vitesse augmente, plus la force de l’impact en cas de choc sera violente.

À titre informatif, voici ce que représente un choc avant/arrière selon votre vitesse :

  • à 30 km/h,  le choc équivaut déjà à une chute du premier étage d’un bâtiment, soit d’environ 3 mètres
  • à 50 km/h, cela équivaut à tomber d’environ 8 mètres (troisième étage).
  • à 100 km/h on passe à 32 mètres, (douzième étage)
  • à 130 km/h on tombe à près de 60 mètres (vingt-deuxième étage)

Maintenir la distance de sécurité : les pièges à éviter

De nombreux conducteurs pensent que le système ABS, qui permet de freiner fort sans risque de blocage des roues, réduit leur distance d’arrêt et leur permet donc de réduire leur distance de sécurité. Il n’en est rien ! Ce système permet simplement de garder le contrôle de la trajectoire, mais le calcul de la distance de sécurité sur autoroute et sur route reste le même.

Les conducteurs pressés ont également l’impression qu’en “collant” le véhicule de devant, ils gagneront du temps. C’est faux : si le véhicule devant se déplace à 50 km/h, vous roulerez également à 50 km/h, que vous soyez très près du véhicule devant ou non.

En conclusion, il faut essayer de créer comme un “coussin d’espace” autour de votre véhicule. Celui-ci englobe les distances de sécurité avant/arrière et les distances de sécurité latérales et vous protégera, ainsi que les autres usagers de la route, en cas d’imprévu.

Maintenir la distance de sécurité sur autoroute et sur route est important dans toutes les conditions de circulation. Découvrez tous nos conseils pour rester en sécurité lorsque la circulation est dense que vous vous situez dans une file de véhicules.

Comment démarrer une voiture et s’arrêter en voiture ?

miniature démarrer et s'arrêter en voiture

Pour devenir conducteur et réussir son permis de conduire, il est indispensable de savoir comment démarrer une voiture et comment s’arrêter en voiture. Il existe plusieurs manières de démarrer et s’arrêter en fonction de la situation. Il convient de savoir exécuter ces étapes de manière précise, car le risque de heurt avec le véhicule derrière ou devant peut être important.

Apprenez à démarrer et s’arrêter pas à pas grâce aux conseils avisés de Manon, votre coach de la conduite.

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Les commandes de la voiture pour démarrer et s’arrêter

Démarrer et s’arrêter : la chaîne cinématique

L’ensemble des organes et commandes qui expliquent comment démarrer une voiture, comment se déplacer et comment s’arrêter en voiture, forment ce qu’on appelle la chaîne cinématique.

En effet, plusieurs éléments mécaniques sont mobilisés pour démarrer et s’arrêter en voiture. Le moteur fournit l’énergie nécessaire au véhicule, modulée par le conducteur grâce à la pédale d’accélérateur. Le levier de boîte de vitesse et les pédales d’embrayage et de freins permettent également au conducteur de commander la voiture.

Comment démarrer une voiture et comment s'arrêter en voiture : la chaîne cinématique
Les mécanismes qui expliquent comment démarrer une voiture et comment s’arrêter en voiture constituent la chaîne cinématique du véhicule.

Démarrer et s’arrêter en sécurité

En complément des commandes mécaniques, d’autres éléments sont à mobiliser. Ils permettent de prendre toutes les précautions nécessaires afin de démarrer et s’arrêter en voiture. On utilise particulièrement les rétroviseurs pour observer les alentours et les autres usagers, ainsi que les clignotants pour signaler ses déplacements si nécessaire.

Comment démarrer une voiture ?

Comment démarrer une voiture sur terrain plat ou en pente ?

Pour démarrer une voiture, il suffit de suivre quelques étapes… et d’un peu d’entraînement !

Voici comment démarrer une voiture :

  1. Si le frein à main est enclenché, on lâche le frein préalablement.
  2. On commence par débrayer, c’est-à-dire appuyer sur la pédale d’embrayage à gauche, pour ouvrir l’embrayage.
  3. En maintenant la position débrayée, on passe la première vitesse : la main droite tire d’abord le levier de vitesse vers la gauche, puis monte pour enclencher la première vitesse.
  4. Ensuite, on relâche progressivement la pédale d’embrayage du pied gauche. Quand la voiture commence à bouger très lentement, on dit qu’on est au point de patinage.
  5. On maintient cela pendant 3 secondes environ, tout en donnant de l’accélération. Pour doser l’accélération au début, on peut regarder le compte tour et essayez d’avoir environ 1500 trs/min à ce moment là. Mais cela se fera plutôt à l’oreille, le bruit du moteur doit être audible, sans être trop fort.

Cette technique est applicable sur terrain plat ou en descente. Nous verrons dans un autre article comment démarrer une voiture dans le cas d’un démarrage en côte.

Comment démarrer une voiture après calage ?

En cas de calage, on peut remettre le moteur en marche rapidement, en débrayant à fond et en tournant la clef de la voiture. Le moteur est alors prêt pour repartir, il suffit de suivre à nouveau les étapes indiquant comment démarrer une voiture.

Conseil pratique : il peut être nécessaire d’appuyer sur la pédale de frein si on cale, pour éviter que le véhicule ne recule dans une pente, ou pour l’empêcher de s’engager dans une intersection si l’on est en circulation. Il faut toutefois faire attention aux véhicules arrivant de derrière pour éviter le choc.

Comment s’arrêter en voiture ?

En conduite, démarrer et s’arrêter vont de paire. Après avoir vu comment démarrer une voiture, voici donc comment s’arrêter en voiture.

Freiner pour s’arrêter en voiture

Pour s’arrêter en voiture, il faut freiner. Pour cela, le conducteur doit lâcher la pédale d’accélérateur à droite et appuyer sur la pédale de frein au milieu. Il faut faire attention que le talon soit bien placé devant la pédale de frein, pour éviter le risque de freiner et accélérer en même temps.

Le freinage doit être dosé plus fort au départ, car on roule plus vite, pour s’assouplir au fil du ralentissement. On place son regard sur l’objectif à atteindre, pour effectuer son arrêt de manière précise.

Le frein à main

Comment démarrer une voiture et comment s'arrêter en voiture grâce au frein à main.
Pour s’arrêter en voiture et avant de démarrer une voiture, ne pas oublier d’enclencher ou de lâcher le frein à main, qui permet d’immobiliser le véhicule.

Après s’être arrêté, il faut tirer le frein à main et éteindre le moteur avant de quitter le véhicule. Il ne faut pas oublier de vérifier également que la voie soit libre avant d’ouvrir sa portière. Le conducteur doit demander à ses passagers de faire de même.

Conseil pratique : le frein à main peut parfois lâcher, ou rester bloqué en hiver. Pour limiter tout risque, on peut laisser enclenchée la première vitesse après avoir serré le frein à main. Cela permet d’empêcher tout départ possible du véhicule.

Démarrer et s’arrêter en voiture font partie des premiers apprentissages de la conduite. Si vous avez compris comment démarrer une voiture, consultez nos conseils pour une bonne installation au poste de conduite. Vous aurez alors toutes les clés pour bien débuter votre formation au permis de conduire !

Marche arrière en voiture et demi-tour : comment faire ?

Manoeuvre Demi-Tour voiture

La marche arrière en voiture et le demi-tour font partie des manoeuvres évaluées lors du permis de conduire. N’hésitez donc pas à suivre ce guide pour vous aider à faire une marche arrière en ligne droite et faire demi-tour en voiture !

Comment faire une marche arrière en ligne droite en voiture

Enclencher la marche arrière en voiture

Pour enclencher la marche arrière en voiture, il faut enfoncer la pédale d’embrayage et placer le levier de boîte de vitesse sur la position marche arrière. Le mouvement de transmission aux roues tourne ainsi en sens inverse, ce qui permet au véhicule de pouvoir reculer.

Manoeuvre_Marche Arrière Ligne Droite

Gérer sa direction pendant la marche arrière en voiture

Pour faire une marche arrière en voiture, il faut conserver une allure très faible, en utilisant le point de patinage. Cela permettra un arrêt immédiat en cas de danger soudain, ou de risque de collision.

Lorsqu’on est en train de faire une marche arrière en voiture, il faut se retourner pour visualiser sa direction et se diriger. Le regard se porte là où on veut placer le véhicule. La vision par les rétroviseurs ne sert qu’à évaluer les distances, le champ visuel dans les rétroviseurs étant trop faible pour reculer “aux rétroviseurs”. Tout au long du déplacement, il faut renouveler souvent les coups d’œil sur l’environnement et anticiper les actions des autres usagers.

Pour se diriger pendant une marche arrière en voiture, il faut tourner le volant dans le sens où on veut déplacer le véhicule, en indiquant avec le clignotant bien sûr. Pour faire une marche arrière en ligne droite, il suffira simplement d’ajuster très légèrement la trajectoire si besoin.

Comment faire un demi-tour en voiture

Vérifications avant de faire demi-tour en voiture

Afin de faire un demi-tour en voiture, on doit se situer dans un endroit assez calme vis à vis du trafic. Il faut aussi toujours s’assurer qu’il n’y ait pas de ligne continue au sol, auquel cas il est interdit de faire demi-tour en voiture.

Manoeuvre Demi-Tour voiture

Etapes à suivre pour faire demi-tour en voiture

Pour faire un demi-tour en voiture, il faut toujours effectuer un nombre impair d’opérations : une, trois, cinq et ainsi de suite.

  • Après avoir clignoté à gauche, avancez en point de patinage et en tournant votre volant à fond à gauche. Stoppez le véhicule près du trottoir, sans le heurter.
  • Clignotez ensuite à droite et effectuez une marche arrière, en tournant vos roues à fond à droite et en regardant derrière. Stoppez à nouveau le véhicule près du trottoir, sans le heurter.
  • Répétez ces opérations jusqu’à pouvoir faire repartir le véhicule en sens inverse.

Pendant que vous êtes en train de faire demi-tour en voiture, il est important de surveiller sans cesse les alentours, pour s’assurer qu’aucun véhicule n’arrive de gauche ou de droite. Si c’est le cas, vous devez favoriser leur passage.

Faire un demi-tour ou une marche arrière en voiture vous sera également utile pour certaines manoeuvres de stationnement, découvrez nos astuces à ce sujet.

Révisez le code avec Lepermislibre et passez l’examen du code à La Poste !

la poste

Passer le code de la route avec la Poste est une des options proposées aux candidats depuis une réforme de 2016. C’est également l’option proposée aux candidats de l’auto-école en ligne Lepermislibre ! Voici la marche à suivre pour l’inscription au code de la route avec la Poste, sans oublier nos conseils pour se préparer à passer l’examen du code de la route.

SOMMAIRE

L’inscription au code de la route avec la Poste

Passer le code de la route avec la Poste est très simple. Une fois que vous possédez un numéro NEPH, vous pouvez réaliser votre inscription au code de la route avec la Poste en quelques clics.

Comment obtenir votre NEPH ?

Le numéro NEPH est votre numéro de candidat au permis de conduire. Il est nécessaire pour passer l’examen du code de la route à la Poste, ou dans n’importe quel centre d’examen. Il vous sera également demandé pour passer l’examen pratique du permis de conduire.

Pour obtenir votre numéro NEPH, il faut faire une demande en ligne, sur le site gouvernemental de l’ANTS. Vous recevrez votre numéro sous quelques jours.

Passer le code de la route à la Poste
Passer le code de la route à la Poste, c’est simple et tellement pratique !

Comment réaliser votre inscription au code de la route avec la Poste

L’inscription au code de la route avec la Poste s’effectue en ligne également, sur leur site internet. Vous y trouverez la liste des bureaux de Poste agréés pour faire passer l’examen, ainsi que les sessions disponibles. Vous pourrez donc réserver votre place d’examen du code de la route à la Poste de votre choix et au créneau qui vous convient. Vous devrez régler 30€ pour la présentation à l’examen par carte, au moment de la réservation en ligne. Vous recevrez ensuite votre convocation par mail.

Comment se passe l’examen du code de la route dans un centre laposte ?

Documents à présenter

Pour passer le code de la route avec la Poste, vous devez vous présenter au bureau choisi au moins quinze minutes avant le début de la session d’examen. Vous devrez obligatoirement amener avec vous votre convocation imprimée et une pièce d’identité.

L’examen du code de la route

La session dure environ 30 mins. L’examen se déroule sur tablette, fournie par le centre d’examen bien sûr. Vous devrez répondre aux 40 questions et obtenir au moins 35 bonnes réponses pour valider l’examen. Si vous souhaitez savoir en détails comment se passe l’examen du code, consultez notre article.

Résultat de l’examen du code de la route

Quelques heures après avoir passé le code de la route avec la Poste, vous recevrez votre résultat par mail. Si la mention “favorable” est inscrite, c’est gagné ! En revanche, si vous voyez indiqué “défavorable”, c’est que vous avez obtenu moins de 35 bonnes réponses. Vous pourrez réserver une nouvelle date d’examen du code de la route à la Poste sous 48h.

Dans tous les cas, vous saurez dans quelle thématique vous aurez fait des erreurs, ce qui vous permettra de savoir où vous devez vous perfectionner par la suite.

Pourquoi passer le code de la route avec la Poste via Lepermislibre ?

L’auto-école en ligne Lepermislibre, vous permet de passer le code de la route à la Poste encore plus simplement !

S’entraîner à passer le code de la route

L’offre en ligne Lepermislibre vous donne accès à un entraînement au code de la route avec des cours et des tests de code en illimité, pour vous préparer à l’examen depuis chez vous. Vous pouvez réviser sur ordinateur, tablette ou smartphone, sans limite dans le temps. C’est la solution idéale pour vous entraîner à votre rythme et pour être certain de vous préparer efficacement. Sans parler des économies réalisées !

Passer le code de la route à la Poste : entraînement en ligne
Avant de passer le code à la Poste, entraînez-vous en ligne et en illimité avec Lepermislibre, pour réussir l’examen rapidement !

S’inscrire au code de la route

Votre espace en ligne Lepermislibre vous permet également de réaliser votre inscription au code de la route avec la Poste. Vous êtes guidé étape par étape en fonction de votre situation. Vous aviez déjà été inscrit en auto-école, ou non ? Vous devez repasser le code suite à l’annulation de votre permis ? Vous souhaitez peut être passer une nouvelle catégorie de permis, ou vous êtes déjà titulaire d’un permis étranger ? La formule en ligne Lepermislibre s’adapte à tous les parcours et vous facilite vos démarches.

N’attendez plus pour passer l’examen du code de la route à la Poste avec Lepermislibre !

Croisement et dépassement : comprendre le code de la route

Sur la route, en cas de croisement et dépassement, le code de la route détermine des règles à respecter pour garantir la sécurité des usagers. En effet, selon les situations, ces actions peuvent s’avérer délicates, voire dangereuses. Voici les principales règles à connaître et nos conseils pratiques pour croiser et dépasser un véhicule en toute sécurité. Prenez note, ces informations sont précieuses si vous vous préparez à passer le permis de conduire !

Croisement et dépassement : agir selon le code de la route et la situation

Les règles de croisement et dépassement dépendent des caractéristiques de la chaussée. Pour croiser un véhicule, il arrive de devoir ralentir, se serrer sur le bord de la chaussée, s’arrêter, voire manoeuvrer.  De la même manière, selon la situation, le dépassement peut être autorisé ou non. Voici un rappel des règles de croisement et dépassement du code de la route.

Croisement d’un véhicule sur une chaussée étroite

Si le croisement est difficile sur chaussée étroite, en terrain plat ou à faible pente, c’est au véhicule le plus maniable de favoriser le passage de l’autre. Ainsi, un véhicule léger fera en sorte de faciliter le passage des véhicules lourds ou des véhicules comprenant plusieurs éléments, comme une remorque.

Croisement d’un véhicule en pente

Si le croisement avec un autre véhicule est difficile sur une route en pente, le code de la route indique que c’est le véhicule descendant qui doit faciliter le passage au véhicule montant. En revanche, si le véhicule montant dispose d’une place pour manoeuvrer plus facilement, il convient d’inverser les rôles : le véhicule montant effectue la manoeuvre pour faciliter le passage du véhicule descendant.

Si le croisement est totalement impossible, c’est le véhicule le plus maniable qui doit manoeuvrer pour laisser passer l’autre. S’il s’agit de deux véhicules de catégories différentes par exemple, c’est le véhicule le plus léger qui doit manoeuvrer, qu’il soit en montée ou en descente.

N’hésitez pas à consulter également nos recommandations pour vous aider à effectuer un démarrage en côte.

Dépassement d’un véhicule

Plusieurs indices de la signalisation peuvent indiquer un dépassement interdit. C’est le cas si vous rencontrez une ligne discontinue de votre côté de la chaussée, ou si vous rencontrez le panneau suivant.

interdiction de dépasser un véhicule
Panneau signalant l’interdiction de dépasser un véhicule.

Dépasser un véhicule est également interdit de manière générale si la visibilité est réduite, comme dans un virage où au sommet d’une montée. Il est aussi interdit de dépasser un véhicule dans toutes les zones à risques, comme les intersections, les passages à niveaux.

Il faut donc bien analyser la situation avant d’entreprendre croisement et dépassement.

Comment dépasser un véhicule

Dépasser un véhicule ne s’opère pas de la même manière sur une chaussée à sens unique (comme une autoroute ou une voie à chaussées séparées) et sur une chaussée à double sens de circulation. La puissance de votre véhicule est aussi très importante à prendre en compte, car d’un véhicule à l’autre, le pouvoir d’accélération sera radicalement différent.

Dépassement d’un véhicule sur une chaussée à sens unique

Dépasser un véhicule sous entend deux conditions :

  • avoir une allure supérieure au véhicule à dépasser,
  • avoir une allure suffisante pour ne pas gêner les véhicules venant derrière et déjà en train de dépasser.

Pour ce faire, il faut donc observer régulièrement les véhicules arrivant de derrière dans ses rétroviseurs et dans l’angle mort gauche, pour évaluer leur vitesse de déplacement. Il faut essayer d’anticiper pour changer de voie au bon moment, sans perdre sa distance de sécurité vers l’avant, ni être obligé de ralentir.

Lorsque le moment paraît propice, il faut bien sûr clignoter avant d’effectuer le changement de voie.

Avant de reprendre sa position initiale sur la chaussée, on s’assure grâce au rétroviseur intérieur de voir l’ensemble du véhicule qu’on a dépassé.

Puis on vérifie le rétroviseur droit et l’angle mort droit et si la voie est libre, on clignote avant de se rabattre sur la voie d’origine.

Dépassement d’un véhicule sur une chaussée à double sens

Les croisements et dépassements sont plus difficiles et dangereux sur une chaussée à double sens que sur une chaussée à sens unique.

Dépasser un véhicule sur une chaussée à double sens nécessite de se placer momentanément sur la voie opposée, en contre sens de la circulation. Pour réaliser ce dépassement, vous devez suivre les mêmes étapes que précédemment, en vérifiant la distance et la vitesse des véhicules venant en sens inverse, en plus de ceux venant de derrière.

Dépassement d'un véhicule sur une chaussée à double sens
Lors du dépassement d’un véhicule sur une chaussée à double sens, prudence et anticipation sont indispensables pour rester en sécurité.

Être dépassé

Lorsqu’un véhicule entreprend de vous dépasser, il convient de garder une allure stable pour ne pas perturber et fausser sa manoeuvre. Cependant, il faut rester vigilant pour pouvoir réagir rapidement si la manoeuvre est dangereuse (par exemple si la distance avec le véhicule en sens inverse est trop faible). Dans certains cas, il sera nécessaire de ralentir.

Croiser et dépasser sur la route nécessite donc anticipation et vigilance.

Garder le contrôle du véhicule en cas de croisement et dépassement

Lors des croisements et dépassements, le rapprochement des véhicules et les conditions météorologiques peuvent affecter le maintien de votre trajectoire. Il faut donc être préparé au moment de croiser et dépasser un véhicule afin de pouvoir réagir en fonction.

Dépassement d’un véhicule à gros gabarit

Le type de véhicule que l’on dépasse est à prendre en compte, notamment pour le dépassement d’un véhicule à gros gabarit, comme un poids lourd, ou un véhicule à plusieurs éléments. Si il y a du vent venant de droite, vous ne sentirez plus le vent pendant le dépassement. La résistance à l’air est donc moins importante. Mais en arrivant à l’avant du véhicule, la résistance augmente soudainement et peut provoquer une perte de contrôle de la trajectoire. Il faudra rester vigilant et maintenir fermement le volant.

Dépassement d’un vélo

Croiser et dépasser un vélo nécessite une vigilance particulière, car le souffle généré par notre véhicule peut faire chuter le cycliste au moment de votre passage. Il convient d’adapter votre vitesse et de prendre toutes les précautions nécessaires pour ne pas mettre en danger le cycliste.

Lors de vos croisements et dépassements, le code de la route est à conjuguer avec une vigilance accrue et une maîtrise de votre véhicule en toute circonstance. Découvrez également nos conseils pour adapter votre conduite aux conditions, notamment sur la bonne utilisation des feux de voiture la nuit