Stationnement interdit : les stationnements dangereux  

Entreposé au mauvais endroit, votre véhicule peut constituer une menace pour les autres usagers de la route, ainsi que pour vous-même. Un stationnement dangereux est donc un stationnement interdit. C’est pourquoi vous devez en connaître les subtilités !

SOMMAIRE

stationnement interdit
On considère un stationnement comme dangereux lorsqu’il peut porter atteinte aux autres usagers

Stationnement dangereux et sanctions

Le stationnement dangereux ou l’arrêt dangereux est défini dans le code de la route et est sanctionnable. Ne vous garez donc pas n’importe où !

Définition

Un véhicule à l’arrêt ou en stationnement ne doit pas constituer de dangers pour les autres usagers. On considère un stationnement comme dangereux lorsque le véhicule bloque la visibilité des autres, est arrêté ou stationné à proximité d’intersections, etc.

Le stationnement dangereux rejoint donc les stationnements interdits ou les stationnements gênants, tous sont considérés comme des stationnements interdits.

Stationnement dangereux : les sanctions

Tout comme le stationnement gênant et le stationnement interdit, le stationnement dangereux est sanctionné par la loi. Ce genre d’infraction entraîne une contravention de 4ème classe conduisant à une amende d’un montant minimum de 135€. De plus, vous perdez 3 points sur votre permis ! Mieux vaut donc ne pas prendre le stationnement dangereux à la légère !

Les différents types de stationnement dangereux

Stationnement dangereux en cas de visibilité réduite

Si vous garez votre véhicule et que celui-ci diminue la visibilité des autres usagers sur une route, alors vous êtes en stationnement dangereux. Cela est encore pire en cas de circulation de nuit. Vous devez donc être attentifs et ne laisser votre véhicule sur la chaussée sous aucun prétexte ! Votre véhicule pourrait être emmené à la fourrière ou vous pourriez perdre des points sur votre permis.

Stationnement dangereux dans un virage

Un virage est sûrement le pire endroit où laisser votre voiture… En effet, si un autre automobiliste s’engage dans ce tournant, il ne verra pas votre voiture et n’aura pas le temps de réagir à temps. Autrement dit, vous risquez l’accident ! Les conséquences pourraient être terribles. Alors ne soyez pas inconscient et réfléchissez à deux fois avant de vous arrêter.

Sommet des côtes et passages à niveau

Les autres endroits où stationner constitue un grand risque sont les sommets de côtes et les passages à niveau.

Dans le premier cas, les usagers montant la côte ne verront pas votre véhicule. Au sommet, il y a peu de chances qu’ils aient le temps de réagir à temps pour une manœuvre d’évitement.

stationnement interdit
Ne vous garez pas sur un passage à niveau, ce serait un stationnement dangereux !

À moins de vouloir causer un accident, ne vous arrêtez pas sur un passage à niveau. D’une, vous bloqueriez la circulation sur la route et sur les rails. Et de deux, vous ne voulez pas risquer une collision avec un train ! Si par malchance vous tombez en panne sur un passage à niveau, ayez le réflexe de pousser votre véhicule hors de la voie le plus rapidement possible.

Afin d’être certains d’avoir toutes les clés en main, revoyez tous les cas où le stationnement est interdit. Il est important de connaître ces règles de base car pour conduire, car après avoir roulé, il faut bien se garer !

Comment tenir le volant et tourner le volant dans un virage ?

Un bon conducteur doit toujours rester maître de son véhicule. Naturellement, bien tenir son volant est indispensable pour rouler en sécurité, sans s’épuiser physiquement. Savez-vous comment tenir et tourner le volant d’une voiture ? Malgré les apparences, ce n’est pas si simple !

comment tenir et tourner le volant
Comment tenir le volant en fonction de la route ?

Bien tenir son volant : les règles de base

Le placement des mains sur le volant

Si l’on compare le placement des mains sur le volant aux positions des aiguilles d’une horloge, alors vous devez tenir le volant à 9h15 ou 10h10. Ces positions vous assurent un bon équilibre pour garder une trajectoire droite, souple et précise. Ne placez pas vos mains en bas du volant ou d’une autre manière. Ne croisez pas non plus vos mains, cela vous ferait prendre des risques inutiles. De même, vos pouces ne doivent pas être repliés sur l’intérieur du volant, mais rester posés sur la couronne.

comment tenir et tourner le volant
Bien tenir son volant est déterminant dans la maîtrise de la trajectoire du véhicule.

Faire les bons réglages avant de partir

Savoir comment tenir le volant n’est pas le seul critère, il faut aussi être correctement installé pour avoir accès à toutes les commandes facilement. Pensez notamment à régler votre siège et la hauteur du volant pour une bonne installation au poste de conduite.

Pour une position optimum lorsque vous tenez le volant, vos bras doivent être légèrement fléchis et vos épaules doivent rester détendues.

comment tenir et tourner le volant
Sur cette photo, la conductrice est trop penchée en avant pour bien tenir son volant.

Comment tenir et tourner le volant dans les courbes

Bien qu’il existe des règles de base pour savoir comment tenir le volant, vous devez adapter vos gestes en fonction de la route, notamment dans les courbes.

Bien tenir son volant dans les courbes légères

Dans une courbe légère, il suffit d’accompagner la courbe de la route en tournant le volant sans bouger les mains sur la couronne du volant. De cette manière, vous gardez une bonne stabilité et une maîtrise de votre trajectoire.

Dans une courbe plus marquée, il faut remonter la main du côté où vous voulez tourner sur le sommet du volant (soit la position 12h), pour éviter de vous retrouver bloqué au niveau de votre cuisse. Tirez alors le volant dans la direction souhaitée. L’autre main suit le mouvement et assure la bonne tenue du volant.

Bien tenir son volant dans un virage serré

Savoir comment tenir et tourner le volant dans un virage serré est particulièrement important pour garder le contrôle du véhicule. Dès que vous devez tourner le volant à plus de 90°, appliquez la technique dite du “chevauchement” :

  • Avant de tourner vous êtes en position 9h15 ou 10h10.
  • Remontez la main du côté où vous souhaitez tourner jusqu’au point le plus haut du volant (12h) et tirez-le d’un demi-tour dans la direction où vous souhaitez aller.
  • Puis l’autre main prend le volant au sommet (12h) et tire de nouveau d’un demi-tour.

Et ainsi de suite !

Bien sûr, vous devez adapter cette technique au virage que vous prenez, en fonction de sa courbure et de son intensité.

Après un virage : le retour du volant dans l’axe

Lorsque vous roulez à une bonne allure, le volant retourne naturellement dans sa position d’origine lors de l’accélération après un virage. C’est le cas si votre véhicule est équipé de la direction assistée. Si ce n’est pas le cas ou si vous ne roulez pas assez vite, il faudra alors tourner le volant manuellement.

N’oubliez pas que plus vous roulez vite, plus le volant sera sensible à vos mouvements. À grande vitesse, ne soyez pas brusque et agissez avec calme.

Bien tenir son volant : l’importance du regard

Cela peut paraître surprenant, mais il n’y a pas que vos mains sur le volant qui influent la direction de la voiture. Votre regard qui définit également votre direction. Par exemple, si vous fixez votre regard à droite, vous irez naturellement à droite. C’est pourquoi même si vous savez comment tenir et tourner le volant, il est très important de diriger la voiture en regardant dans la bonne direction.

Que ce soit en ligne droite ou dans des virages, regardez toujours la route loin devant vous. Cela vous permet également de chercher l’information, voir les obstacles venir et réagir à temps. Alors, vous pourrez maîtriser parfaitement votre trajectoire et anticiper votre conduite.  

Savoir comment tenir et tourner le volant dans un virage vous sera utile dans votre conduite de tous les jours, lorsque vous devrez franchir un carrefour à sens giratoire par exemple. Découvrez nos conseils pour franchir ce type d’intersection !

Rond-point et carrefour à sens giratoire : quelles différences ?

La différence entre rond-point et carrefour à sens giratoire est assez méconnue des conducteurs. La majorité pense emprunter des ronds-points, alors qu’il s’agit la plupart du temps de carrefours à sens giratoire. Petit rappel des cours du code de la route pour savoir comment distinguer ces intersections et quelles règles s’appliquent pour chacune.

difference rond point carrefour sens giratoire
La principale différence entre un rond-point et un carrefour à sens giratoire est la règle de priorité.

Comment distinguer un rond-point d’un carrefour à sens giratoire

La signalisation à un rond-point ou un carrefour à sens giratoire

Pour différencier les ronds-points des carrefours à sens giratoire, il suffit de se référer à leur signalisation.

Lorsqu’il s’agit d’un rond-point, il n’y a pas de panneau de signalisation, ni de marquage au sol. La règle à appliquer est donc celle de la priorité à droite. L’exemple le plus connu reste le rond-point de la place de l’Étoile à Paris.

Le carrefour à sens giratoire est identifiable par les panneaux « Cédez le passage » positionnés à chaque entrée du carrefour.

La signalisation en amont

Sur la route, les intersections sont généralement signalées en amont. À l’approche d’un rond-point ou d’un carrefour à sens giratoire, il est possible de rencontrer ces panneaux. Le premier vise à alerter le conducteur d’un danger potentiel, le deuxième est simplement informatif. Dans les deux cas, cela permet au conducteur d’anticiper et d’adapter sa conduite.

difference rond point carrefour sens giratoire
Panneaux de signalisation annonçant un carrefour à sens giratoire ou un rond-point.

Les différences entre rond-point et carrefour à sens giratoire d’après le code de la route

Le rond-point et le carrefour ne sont pas régis par les mêmes contraintes du code de la route. Dans les deux cas, la circulation se fait à sens unique, mais les règles de priorité ne sont pas les mêmes.

Le rond-point d’après le code de la route

Dans un rond-point, la règle de priorité à droite est appliquée. Quand vous circulez sur l’anneau, vous devez alors céder le passage aux véhicules arrivant de droite et souhaitant s’insérer. Cela peut nécessiter de s’arrêter dans l’anneau.

Envie d’en savoir plus ? Découvrez nos conseils pratiques pour savoir comment prendre un rond-point.

Les règles du carrefour à sens giratoire

En ce qui concerne le carrefour à sens giratoire, les usagers qui circulent sur l’anneau ont la priorité par rapport aux automobilistes venant de l’extérieur. C’est pourquoi des panneaux “Cédez le passage” sont situés aux entrées du carrefour.

carrefour à sens giratoire
La principale différence entre rond-point et carrefour à sens giratoire : la présence de panneaux “cédez le passage”.

Découvrez plus d’astuces pour savoir comment comment franchir un carrefour à sens giratoire dans les règles de l’art.

La différence entre rond-point et carrefour à sens giratoire n’est donc pas anodine, même si les carrefours à sens giratoire restent les plus répandus en France. Il est très probable que vous ayez à franchir ce type d’intersections le jour du permis de conduire. Pour vous entraîner, rien de plus simple : l’inscription à l’auto-école Lepermislibre se fait en quelques clics et vous pourrez réserver une leçon avec un enseignant proche de chez vous !

Carrefour à sens giratoire : comment l’aborder selon le code de la route

Contrairement à son cousin le rond-point, le carrefour à sens giratoire est très répandu en France : on en compte 30 000 environ. Quels sont les règles pour franchir ce genre de passage ? Voilà qui pourrait intéresser un grand nombre de candidats au permis… et de conducteurs confirmés !

SOMMAIRE

carrefour à sens giratoire code de la route
On compte plus de 30 000 carrefours giratoires en France

Reconnaître le panneau du carrefour à sens giratoire

Souvent confondu avec le rond-point, le carrefour à sens giratoire répond à des règles précises, définies par le code de la route. Ce type de carrefour est annoncé en amont par le panneau de carrefour à sens giratoire ci-dessous. 

panneau carrefour à sens giratoire
Panneau d’un carrefour à sens giratoire.

Vous rencontrerez également des panneaux “ Cédez le passage” à l’arrivée au carrefour. Vous devez en effet céder le passage aux usagers déjà engagés dans l’anneau du carrefour à sens giratoire. 

L’objectif d’un giratoire est de fluidifier et faire ralentir la circulation, tout en permettant aux usagers de changer de direction. On en compte environ 30 000 en France, soit 6 fois plus qu’en Allemagne. Ce qui en fait le pays possédant le plus de carrefours de ce genre au monde !

Découvrez notre article dédié : Rond-point et carrefour à sens giratoire : quelles différences ?

Apprenez à circuler dans un carrefour à sens giratoire avec Séverine, enseignante de la conduite, grâce à cette vidéo en réalité virtuelle !

Carrefour à sens giratoire : que dit le code de la route ?

Avant de s’engager dans le carrefour à sens giratoire

Voici quelques bonnes pratiques à appliquer dès que vous apercevez le panneau annonçant le carrefour à sens giratoire :

  1. En premier lieu, avant et pendant que vous réduisez votre vitesse, vérifiez bien dans vos rétroviseurs qu’aucune voiture n’est trop proche de vous à l’arrière. Si c’est le cas, il faudra alors freiner avec prudence et progressivement.
  2. Freinez alors doucement et rétrogradez les vitesses jusqu’à arrêt complet si c’est nécessaire. En règle générale, on aborde un rond-point à maximum 30 km/h en agglomération.
  3. Avant de vous engager, vérifiez que la voie soit libre et faites particulièrement attention aux usagers de la route moins visibles : vélos, motos, scooters. Pour ce faire, contrôlez l’angle mort et vos rétroviseurs.
  4. Si vous ne pouvez pas vous insérer tout de suite sur l’anneau, arrêtez-vous et attendez que la voie se libère. Pensez à anticiper, en repérant les véhicules présents sur l’anneau avant de vous engager. Autrement, vous risquez l’accident.

Comment se placer sur un carrefour à sens giratoire ?

Le carrefour à sens giratoire, d’après le code de la route, permet selon les situations de se placer sur la voie de gauche ou de droite, ce dès l’entrée du rond-point.

  • Si vous allez tout droit ou prenez la première sortie à droite, placez-vous sur le côté droit de la chaussée.
  • Si vous voulez aller à gauche ou faire demi-tour, placez-vous sur le côté gauche de la chaussée.

Une fois sur l’anneau, vous devez rester sur la gauche ou la droite de la chaussée, en fonction de la sortie qui vous prendrez. Cependant, si vous êtes à gauche, veillez à changer de voie avant de sortir. Avant de vous déporter sur la voie de droite, effectuez bien tous les contrôle nécessaires pour ne pas couper la route aux autres usagers : rétroviseurs et angles morts.

panneau carrefour à sens giratoire
Bien se positionner et indiquer sa direction aux autres usagers est essentiel sur un carrefour giratoire.

Carrefour à sens giratoire : le clignotant

Le clignotant averti les autres automobilistes de votre direction. Cela leurs permet d’anticiper votre conduite et donc la leur également. Avant de vous engager dans le carrefour, vous devez déjà savoir où vous allez sortir.

Concernant la signalisation à l’aide des clignotants dans un carrefour à sens giratoire, le code de la route indique que :

  • Si vous allez à gauche ou à droite, vous devez activer le clignotant avant de vous insérer. 
  • Si vous allez tout droit, vous devez mettre votre clignotant avant de prendre la sortie. Il faut donc l’activer juste après avoir passé la sortie précédente.
  • Si vous tournez à gauche, vous devez mettre votre clignotant droit avant de changer de voie dans l’anneau et de prendre la sortie. 

L’importance des contrôles visuels

Pour être en sécurité dans un carrefour à sens giratoire, le code de la route indique qu’il faut impérativement effectuer des contrôles visuels. Comme mentionné plus haut, vérifiez déjà vos rétroviseurs avant l’entrée dans le giratoire. Puis avant de sortir de l’anneau, contrôlez le rétroviseur extérieur et l’angle mort. Cette étape est très importante car vous vous assurez de ne pas provoquer de collision avec d’autres usagers.

Les deux roues sont moins visibles que les voitures, soyez donc particulièrement attentifs à ces derniers.

Dès que vous verrez un panneau de carrefour à sens giratoire, vous saurez désormais comment réagir. Le jour du permis de conduire, l’inspecteur sera particulièrement attentif à ce que les contrôles de sécurité soient correctement effectués lors du franchissement de ces intersections. N’hésitez donc pas à anticiper et à régler correctement vos rétroviseurs pour avoir une visibilité optimum. 

Comment se préparer à l’ASSR2 ?

Suite à l’obtention de l’ASSR (Attestation Scolaire de Sécurité Routière) au collège en 5ème, les élèves de 3ème passent l’ASSR2. Cette certification s’obtient après un test sur des questions élémentaires de sécurité routière. Comment se préparer à l’ASSR2 ?

attestation sécurité routière
Se préparer à l’ASSR2 permet d’apprendre les bases de la sécurité routière

L’ASSR2 : qu’est-ce que c’est ?

L’ASSR2 est une attestation de sécurité routière qui certifie de la maîtrise des bases de la sécurité routière. L’ASSR2 est généralement passé au collège, en classe de 3ème. Il s’agit d’un test théorique. L’ASSR2 est la continuité de l’ASSR1, premier niveau d’attestation de sécurité routière, passé généralement en classe de 5ème.

Ces deux attestations de sécurité routière sont exigées pour pouvoir réaliser les 7 heures de formation pratique du BSR, permettant de conduire un cyclomoteur jusqu’à 50 cm3. Il est donc utile de bien se préparer à l’ASSR2 si vous souhaitez ensuite passer ce permis ! Il arrive aussi que ces attestations soient exigées pour débuter une formation en conduite accompagnée par exemple.

Pour les jeunes n’ayant pas passé ou obtenu l’ASSR2 pendant leur scolarité, il est possible de passer l’ASR (Attestation de Sécurité Routière) auprès d’un centre de formation ou d’une mairie.

Bien se préparer à l’ASSR2

Comment se déroule l’examen ?

L’examen pour obtenir l’attestation de sécurité routière a lieu durant les cours au collège, généralement vers mars, l’enseignant projette les questions à toute la classe. 20 questions composent l’examen et vous avez 30 minutes pour y répondre. Différents thèmes sont abordés : intersections (rond-point, carrefour, etc.), vitesse, piétons, médicaments, équipements, etc… Chaque question est posée selon un point de vue différent précisé en amont  : cycliste, piéton ou même passager.

Un petit film décrivant la situation en lien avec la question est projeté. Après la diffusion, une voix lit la question lorsqu’elle s’affiche. Vous avez une minute pour répondre à chaque question. Une bonne réponse vaut 1 point, une mauvaise 0. Pour obtenir l’attestation de sécurité routière, vous devez obtenir 10 réponses justes minimum, sur 20 questions en tout.

Quelques conseils pour s’entraîner

La première chose à faire pour se préparer à l’ASSR2, c’est d’observer l’environnement quand vous êtes dans les transports. Essayez de comprendre les différentes situations : intersections, feux rouges, arrêts,  etc… C’est une bonne manière pour se familiariser avec les notions de l’attestation de sécurité routière.  

Bien sûr, vous pouvez aussi vous entraîner en ligne sur des sites dédiés. Profitez par exemple du site national : https://e-assr.education-securite-routiere.fr/preparer/assr. Les questions et les vidéos ne seront pas forcément dans le même ordre le jour de l’examen, mais elles seront du même type.

Même si vous ratez l’ASSR2, sachez qu’il est toujours possible de le repasser plus tard, autant de fois que nécessaire. Il suffit de prendre contact avec la direction d’académie de votre lieu d’habitation pour connaître les démarches pour accéder à une nouvelle session.

Les attestations de sécurité routière obtenues durant le collège constituent donc le premier pas vers votre future vie de conducteur. Puis dès que vous avez l’âge et vous sentez prêt, vous pouvez passer le permis de conduire avec Lepermislibre !

Comment prendre un rond-point ?

Point important de la formation au permis de conduire, le rond-point est un passage parfois difficile à appréhender. On ne sait pas où se placer, ni comment se positionner par rapport aux autres automobilistes. Pour savoir comment prendre un rond-point, il est nécessaire de connaître quelques règles de bases.

comment prendre un rond point
Le rond-point de la place de l’Étoile à Paris.

Rond-point : les règles du code de la route

Un rond-point est une intersection en anneau, comprenant plusieurs sorties. Pour faire la différence entre un rond-point et un carrefour à sens giratoire, observez bien la route : il n’y a pas de panneau de signalisation ni de marquage au sol à l’entrée d’un rond-point.

En effet, au niveau d’un rond-point, le code de la route indique que les usagers circulants dans l’anneau doivent céder le passage aux usagers venant de droite, qui souhaitent s’engager dans l’anneau.

On trouve assez peu de rond-points en France. L’exemple le plus connu est celui de la place de l’Étoile à Paris. Cependant, il est important de connaître les règles à appliquer à l’approche de ce type d’intersection. Voici donc comment prendre un rond-point.

Comment prendre un rond-point : bien se positionner sur la chaussée

Comme au niveau de n’importe quel type de carrefour, il existe des manœuvres à connaître à l’approche d’un rond-point.

Approcher un rond-point

Bien que vous ayez la priorité, la première chose à faire à l’approche d’un rond-point est de ralentir avec la pédale de frein. Quand vous êtes en agglomération, attendez d’être à 30 km/h avant de commencer à rétrograder. Les usagers circulant dans l’anneau doivent vous céder le passage. Assurez-vous tout de même que la voie soit libre avant de vous engager !

Positionnement sur un rond-point : que dit le code de la route ?

comment prendre un rond point
Le positionnement sur un rond-point est le même que pour un carrefour à sens giratoire, mais attention, ce n’est pas la même règle de priorité !

Afin d’approcher et de s’engager dans un rond-point le plus sereinement possible, il est important de savoir où se placer. Si vous prévoyez de sortir à droite ou d’aller tout droit, positionnez-vous de préférence sur la droite de la chaussée avant de vous engager dans le carrefour. Une fois dans le rond-point, restez sur la partie droite de la route avant de sortir.

Au contraire, si vous voulez sortir à gauche ou faire demi-tour, vous devez vous placer sur la partie gauche de la chaussée, et conduire à gauche dans le rond-point. Le code de la route est clair sur ce point. Vous devrez ensuite vous rabattre sur la droite de la chaussée un peu avant de sortir, pour ne pas couper la route aux autres usagers.

Comment prendre un rond-point : signaler et contrôler

prendre un rond point clignotant
Comment ne PAS prendre un rond-point !

Rond-point : quels clignotants activer ?  

Concernant les clignotants, enclenchez-les avant de vous engager dans le rond-point. Le clignotant avertira ainsi les autres automobilistes de votre direction le plus tôt possible. Vous minimisez ainsi les risques d’accident, car nombreux sont les accrochages qui surviennent à cause de l’oubli d’un clignotant. C’est aussi vrai dans beaucoup d’autres cas, comme sur l’autoroute, en circulation dense par exemple.

Quand vous tournez à gauche ou faites demi-tour dans un rond-point, activez votre clignotant gauche avant d’entrer dans l’anneau. Si vous allez à droite, activez le clignotant droit. Activez également le clignotant droit avant de sortir du rond-point.

Contrôler vos rétroviseurs

Comme dans bon nombre de situations au volant, il est primordial de bien contrôler vos rétroviseurs avant de changer l’orientation de votre voiture. Avant de vous engager dans le rond-point, vérifiez à l’aide des rétroviseurs qu’il n’y ait pas de danger. Par exemple, un vélo ou un deux roues peut facilement se glisser sur la droite de votre voiture avant que vous tourniez. Si ce dernier se lance au même moment que vous dans le rond-point, vous risquez de le heurter ! Ce qui est également vrai pour les autres virages. Ensuite, quand vous êtes engagé dans le rond-point, soyez attentifs à ce que personne ne vous coupe la route. Enfin, à la sortie, contrôlez encore une fois le rétroviseur droit et l’angle mort. Vous serez alors sûr de ne pas faire d’accrochage.  

Vous savez maintenant comment prendre un rond-point dans les règles de l’art. Découvrez maintenant comment franchir un carrefour à sens giratoire.

Peur de conduire : comment la surmonter ?

peur de conduire sur autoroute

Conduire est une activité qui n’est pas sans risques. Au volant, nous réagissons tous d’une manière différente. Pour certains c’est un acte naturel… Et pour d’autres c’est un véritable calvaire ! Quelques conducteurs en développent même une phobie : c’est ce qu’on appelle la peur de conduire.

Qu’est-ce que la peur de conduire ?

Qui est concerné ?

La peur de conduire est un phénomène pouvant affecter un certain nombre d’apprentis conducteurs, mais aussi des conducteurs confirmés. Aussi appelée amaxophobie, elle se caractérise par la phobie de conduire un véhicule ou d’être dans un véhicule. Elle peut apparaître dans différentes situations sources d’angoisse pour l’automobiliste. Certains automobilistes vont être victimes d’une attaque de panique en circulation dense. D’autres seront tétanisés à l’idée de repasser leur permis de conduire après l’avoir raté plusieurs fois.
Les raisons de cette angoisse sont difficilement identifiables : peur de conduire seul, peur de conduire sur l’autoroute, d’être observé et jugé, manque de confiance en soi… Nous verrons plus tard qu’il existe des solutions pour mieux appréhender ces difficultés.

Comment se manifeste la peur de conduire ?

Les personnes souffrant de cette phobie deviennent incapables de conduire, ou au prix de (très) gros efforts. Voici quelques symptômes de cette peur : tremblements, transpiration, crispation, attaques de panique, palpitations ou vertige. Cette angoisse n’est donc pas à prendre à la légère, car elle peut empêcher le conducteur d’adopter une attitude sereine au moment de prendre le volant.

Peur de conduire : les causes

Plusieurs causes peuvent expliquer cette peur, voici les plus répandues.

Manque de confiance en soi

Chez des personnes manquant d’assurance, la peur de conduire est plus susceptible de se développer. En effet, si vous manquez de confiance en vous en temps normal, ce phénomène peut être amplifié au volant, situation à lourdes responsabilités. Ce manque de confiance peut donc se manifester en particulier par la peur de conduire seul.  Bien sûr, ce n’est pas une généralité. Certaines personnes peu sûres d’elles seront tout de même capables de gagner en assurance au volant.

Peur de conduire et stress post-traumatique

Chez certaines personnes, la peur de conduire a pour origine un événement précis. Le fait d’avoir assisté à un accident par exemple peut créer un blocage très fort envers tout ce qui concerne les véhicules. On appelle ce phénomène le stress post-traumatique, c’est-à-dire une angoisse qui se développe après un événement marquant.

Si vous avez vécu un accident sur voie rapide par exemple, il est possible que vous soyez confronté par la suite à une peur de conduire sur autoroute ou autre type de voie rapide.

Conditions d’apprentissage de la conduite

La manière dont votre formation au permis de conduire s’est déroulée affecte forcément votre comportement et votre sensibilité au volant. Apprendre à conduire est une étape difficile et éprouvante, pendant laquelle il est important de se sentir bien, en confiance. Si cela n’a pas été le cas, peut-être avez-vous mal assimilé certaines techniques de conduite, ou développé certaines craintes ? Dans ce cas, il peut suffire de tester une autre méthode d’apprentissage pour retrouver confiance en vous et vaincre votre peur de conduire !

Chez Lepermislibre, vous êtes libre de réserver des leçons avec l’enseignant de votre choix, d’en changer, de conduire aux horaires qui vous conviennent… Que vous ayez déjà votre permis ou non, testez vous-même, en réservant une première heure sans engagement.

Comment remédier à la peur de conduire ?

La peur de conduire peut devenir un véritable blocage et un handicap. Même s’il n’y a pas de solutions miracles : certaines méthodes existent pour atténuer cette angoisse.

peur de conduire seul
Ta peur de conduire, maîtriser tu devras

J’ai peur de conduire sur l’autoroute, que faire ?

Peut-être que l’origine de votre angoisse est liée à votre peur de conduire sur l’autoroute ? Dans ce cas, il n’est jamais inutile de revoir les techniques de conduite : comment aborder une voie d’accélération ou de décélération, ou encore dépasser les autres usagers en toute sécurité. Pourquoi ne pas simplement reprendre quelques leçons avec un enseignant de la conduite ? Les enseignants partenaires Lepermislibre seront ravis de vous accompagner pour quelques leçons, que vous ayez déjà obtenu votre permis ou non.

J’ai peur de conduire seul, que faire ?

Si la peur de conduire seul vous dissuade de prendre le volant, n’hésitez pas à demander à une personne de confiance de vous accompagner en voiture, surtout au début. Pour progressivement vous retrouver seul au volant. Cette transition peut vous permettre de prendre confiance en vous et de contrôler votre angoisse petit à petit.

La respiration pour contrôler la peur de conduire

La respiration est un élément essentiel qui aide à gérer son stress dans de nombreuses situations, y compris si vous avez peur de conduire. Lorsque vous sentez l’angoisse monter, concentrez-vous sur votre rythme respiratoire et tentez de le ralentir. Respirez avec le ventre plutôt que le thorax, la respiration ventrale vous aidera à vous détendre musculairement et mentalement. Vous serez ainsi plus calme, plus concentré et donc plus apte à gérer efficacement votre conduite !

peur de conduire sur autoroute
La respiration ou encore l’hypnose peuvent aussi vous aider à surmonter votre peur

Si conduire reste une activité nécessitant beaucoup d’attention et qui peut être source de stress, dans certains cas, la peur de conduire peut relever de causes profondes et complexes. Pour surmonter cette angoisse, il peut être utile de consulter un spécialiste comme un psychologue ou un expert en hypnose.

Toutes les pistes valent d’être explorées pour (re)trouver le plaisir de conduire ! En attendant, n’hésitez pas à consulter nos conseils pour vous préparer au permis de conduire en toute sérénité, comme les règles de dépassement ou croisement sur la route.

Voie rapide et jeune conducteur : quelles vitesses autorisées ?

Quand on vient d’obtenir le permis, les limitations de vitesse ne sont pas identiques aux conducteurs confirmés. Sur une voie rapide par exemple, elles sont réduites pour les jeunes conducteurs. Voici quelques explications.

voie rapide jeune conducteur
La vitesse autorisée pour les jeunes conducteurs sur voie rapide est réduite : gardez l’oeil sur votre compteur !

Les différents types de voie rapide et leur vitesse

Il existe plusieurs types de voies rapides, obéissant à différentes règles et contraintes : voici lesquelles.

Voie la plus rapide : l’autoroute

Voie rapide par excellence, l’autoroute se compose au minimum de deux voies à sens unique, séparées par un terre-plein central. On y trouve également différents aménagements spécifiques, comme des aires de repos, voies d’accès uniques, sorties, échangeurs, etc. L’accès y est la plupart du temps payant.

Cette voie rapide est accessible aux jeunes conducteurs, mais la vitesse y est plus limitée que pour les conducteurs expérimentés. En revanche, les piétons et les véhicules lents, tels que les vélos, n’y sont pas acceptés.

voie rapide jeune conducteur
L’autoroute : une voie rapide à vitesse limitée pour les jeunes conducteurs

Une autre voie rapide : la route à accès réglementé

Ce type de voie rapide ressemble à l’autoroute mais ne vous y méprenez pas, ce n’en est pas une. Le panneau indiquant ce genre de voie rapide est un panneau carré bleu avec une voiture blanche dessinée au centre. On peut y trouver un terre-plein central mais ce n’est pas obligatoire. L’accès est gratuit et également interdit aux usagers lents (piétons, vélos, 50cm3…).

Même si cela reste une voie rapide, la vitesse autorisée pour les jeunes conducteurs sur cette voie rapide est plus faible que sur l’autoroute. Cela vaut également pour les conducteurs expérimentés.

vitesse jeune conducteur voie rapide
Panneau de signalisation de voie rapide : la route à accès réglementé

Les limitations de vitesse pour jeune conducteur sur voie rapide

Pendant la période de permis probatoire, les limitations de vitesse pour les jeunes conducteurs sont réduites. Voici la vitesse autorisée pour les jeunes conducteurs sur les voies rapides.

Voie rapide et jeune conducteur : vitesse sur l’autoroute

La vitesse pour les jeunes conducteurs sur une voie rapide d’autoroute est plus limitée que pour un conducteur confirmé. Lorsque la limitation est à 130 km/h sur l’autoroute, les jeunes conducteurs sont limités à 110 km/h.

En cas de pluie, la vitesse maximale est abaissée à 110 km/h pour les conducteurs confirmés. Il n’y a donc aucune limitation supplémentaire qui rentre en vigueur, la vitesse maximum ne change pas pour les jeunes conducteurs.

Jeunes conducteurs ou confirmés, en cas d’intempérie, soyez également attentifs à l’adhérence de vos pneus et à la visibilité : le choix des feux par temps de pluie est primordial !

Les limitations sur routes à accès réglementé

Sur une route dont les chaussées sont séparées par un terre-plein central, la limitation de vitesse en règle générale est à 110 km/h. La vitesse autorisée pour les jeunes conducteurs sur cette voie rapide est alors de 100 km/h.

Dans le cas où les chaussées ne sont pas séparées, la vitesse est limitée à 90 km/h pour les conducteurs confirmés et 80 km/h pour les jeunes conducteurs.

De même en cas d’intempérie, les limitations de vitesse pour les jeunes conducteurs sur ces voies rapides restent les mêmes, elles sont rabaissées uniquement pour les conducteurs confirmés.

Vous savez dorénavant tout sur les limitations sur voie rapide pour les jeunes conducteurs suite à l’obtention du permis de conduire.

En savoir plus sur les excès de vitesse et les sanctions applicables.

Le certificat de cession d’un véhicule : dans quels cas l’utiliser ?

Derrière cette expression administrative un peu fade du “certificat de cession d’un véhicule” se cache un document très important pour acheter ou vendre une voiture. Vous désirez acheter une voiture d’occasion à un particulier ? Ou alors vendre votre véhicule ? Alors vous aurez besoin de ce document et de savoir comment le remplir. Focus sur le certificat de cession d’un véhicule d’occasion !

Certificat de cession d'un vehicule d'occasion
Le certificat de cession d’un véhicule d’occasion vous permet de vendre ou d’acheter une voiture

Certificat de cession du véhicule : qu’est-ce que c’est ?

Qui est concerné par ce contrat ?

Le certificat de cession d’un véhicule est un document administratif permettant l’achat ou la vente d’un véhicule d’occasion. Ce document fait office de contrat entre l’acheteur et le vendeur. Sont donc concernées par ce certificat toutes les personnes souhaitant acheter ou vendre un véhicule d’occasion.

Le certificat de cession mentionne les deux parties : l’ancien ou les anciens propriétaires et le nouvel acquéreur du véhicule.

Tous les types de véhicules sont éligibles à la cession : voiture, moto, scooter, quad, etc… Il est préférable de vendre un véhicule en bon état. N’hésitez pas à vous renseigner sur la mécanique de la voiture.

A noter également que la cession peut aussi s’effectuer hors d’une vente, on parle alors de cession à titre gratuit.

Certificat de cession du véhicule : quel intérêt ?

Pour vendre ou acheter un véhicule, il est nécessaire d’effectuer quelques démarches administratives. En signant le certificat de cession d’un véhicule d’occasion lors d’une vente, vous assurez à l’acheteur que vous ne fraudez pas. Les deux parties sont ainsi protégées par la loi grâce à leurs signatures.

Cela permet aussi à l’acquéreur d’avoir une immatriculation à son nom suite au changement de propriétaire du véhicule. Après avoir rempli le certificat de cession, l’acheteur devra envoyer un formulaire de demande de certificat d’immatriculation afin d’obtenir une carte grise à son nom pour le véhicule.

Certificat de cession d’un véhicule : comment faire ?

L’ancien et le nouveau propriétaire doivent remplir le certificat de cession du véhicule, téléchargeable en ligne. En tout, trois exemplaires sont à remplir.

certification d'un véhicule d'occasion
Comment se déroule la cession d’un véhicule ?

Remplir le certificat de cession : l’ancien propriétaire

L’ancien propriétaire doit remplir sur le certificat de cession du véhicule toutes les informations permettant de l’identifier lui et son véhicule. Il remplit le document à l’aide de sa carte grise. Il doit notamment renseigner son nom, prénom, le numéro d’immatriculation du véhicule, le numéro de série, le type de véhicule, le kilométrage, etc. S’il y a un co-propriétaire, celui-ci devra également apporter sa signature et ses informations personnelles.

Le vendeur doit également fournir à l’acheteur un Certificat de Situation Administrative, garantissant que le véhicule peut être vendu et qu’il est possible de l’immatriculer.

Remplir le certificat de cession : l’acquéreur

Le nouveau propriétaire doit également remplir ses informations sur le certificat de cession du véhicule d’occasion : nom, prénom, etc. Des précisions sur l’acte doivent aussi figurer sur le document : date du contrat, vente ou cession gratuite, destruction…

Transmission du certificat de cession à la préfecture

En tout, trois exemplaires du certificat de cession d’un véhicule sont à remplir. Un pour le vendeur, un pour l’acquéreur et un dernier pour la préfecture. En effet, il est obligatoire de déclarer le changement de propriétaire du véhicule à l’administration, même à titre gratuit.

C’est le vendeur qui doit se charger de transmettre le certificat de cession du véhicule à la préfecture, via le site de l’ANTS ou une administration habilitée. Cette déclaration à l’administration doit s’effectuer moins de 15 jours après la signature.

Vous voilà bien informés pour acquérir une voiture, faut-il encore avoir votre permis de conduire ! Si ce n’est pas le cas, Lepermislibre vous accompagne tout au long de votre formation pour passer le permis en candidat libre.

Âge minimum au code de la route : à quel âge passer le code ?

Il est indispensable pour pouvoir conduire. Mais quel est l’âge minimum pour passer l’examen du code de la route ? L’âge légal varie en fonction de la manière dont vous souhaitez passer votre permis. Découvrez quelles sont les différentes options pour passer l’Epreuve Théorique Générale (ETG) du code de la route.

SOMMAIRE

Code de la route : l’âge minimum en conduite accompagnée est de 15 ans !

L‘arrêté du 25 décembre 2015 confirme que l’âge minimum pour passer l’examen du code de la route est de 15 ans en conduite accompagnée (AAC). Par la suite, il est nécessaire de réaliser au moins 20 heures de conduite avec un enseignants diplômé, avant de pouvoir conduire avec son accompagnateur. Sachant qu’il faut ensuite parcourir au moins 3000 kilomètres pour pouvoir passer le permis de conduire.

Cet écart entre l’âge minimum au code de la route et l’âge légal pour passer le permis de conduire s’explique par le fait que les conducteurs en AAC ont besoin de temps pour parcourir les 3000 km. Donc si vous avez 15 ans, soit l’âge minimum pour le code de la route en conduite accompagnée, pourquoi ne pas choisir cette option pour commencer votre formation au permis de conduire au plus vite ? Une fois prêt pour le permis, vous pouvez le passer à 17 ans au plus tôt (depuis le 1er janvier 2024, avant cette date l’âge légal était de 18 ans).

Code de la route : l’âge légal en formation classique est de 16 ans !

En formation classique, pour passer l’examen théorique du code de la route, l’âge légal est de 16 ans minimum. Passer le code à partir de 16 ans vous permet ensuite de vous préparer à la conduite et de passer le permis dès votre majorité.

Concernant les démarches, dès que vous avez l’âge minimum pour passer le code de la route, vous pouvez alors obtenir votre numéro NEPH (numéro de candidat) auprès de la préfecture. Vous pouvez ensuite passer l’examen lorsque vous êtes prêt, dans un centre d’examen comme La Poste par exemple.

A noter :

L’âge minimum pour le code de la route est le même que vous le passiez par le biais d’une auto-école traditionnelle ou en ligne comme la nôtre.

Comment réviser et passer le code avec lePERMISLIBRE ?

>> Réviser, se tester et être accompagné vers la réussite !

Chez lePERMISLIBRE, pas d’âge minimum pour vous inscrire à notre offre code dans notre auto-école en ligne ! Inscrivez-vous quand vous voulez et commencez à réviser le code de la route avec accès illimité à notre entraînement. Tests, examens blancs, suivi de votre évolution… Tous les outils nécessaires sont disponibles pour vous permettre d’avoir le code dans les meilleures conditions. Autre avantage : pas besoin de vous déplacer à l’auto-école pour réviser, vous pouvez vous entraîner où bon vous semble sur votre mobile, tablette ou ordinateur !

code de la route Lepermislibre

>> Obtenir son numéro NEPH pour passer l’examen du code

Il est obligatoire de disposer d’un numéro NEPH pour passer l’examen du code de la route. Dès que vous avez l’âge minimum pour passer le code de la route, vous pouvez obtenir votre numéro NEPH en suivant les indications sur votre compte Lepermislibre. Toutes les démarches se font en ligne, via le site de l’ANTS et nous vous indiquerons comment procéder.  

>> Passer l’examen à La Poste une fois l’âge légal atteint

Vous avez l’âge minimum pour passer le code de la route, soit 15 ans ou plus ? Vous possédez votre numéro NEPH ? Lorsque vous vous sentez prêt, il vous suffit alors de réserver depuis votre compte lePERMISLIBRE une date d’examen, auprès d’un centre d’examen privé comme La Poste. L’avantage de ce système, c’est que vous n’aurez pas de délai d’attente pour passer le code de la route, de nombreuses places d’examen étant disponibles chaque jour partout en France, si vous le souhaitez découvrez notre offre Cours de code de la route + Examen du code avec La Poste à 44 euros.

Pour le code de la route, l’âge minimum pour l’obtenir est donc variable selon deux cas. Soit vous optez pour la conduite accompagnée, soit pour la formation classique. C’est vous qui décidez.